8e Journée d'Étude

Rêves et fantasmes chez l’enfant

samedi 22 mars 2025

En savoir +S'inscrire
Menu

Non classé

Edito

image_pdfimage_print

Ce pre­mier Zappeur de l’an­née est l’oc­ca­sion pour toute l’é­quipe de la JIE7 de sou­hai­ter à cha­cune et cha­cun d’entre vous ses meilleurs voeux pour l’an­née à venir.

Que 2023 vous soit… piquante 🌵 !

À l’atelier de recherche « L’enfant pla­cé » de l’Institut Psychanalytique de l’Enfant, il est ques­tion d’« Une bien longue his­toire pour les enfants “sépa­rés”, “dépla­cés”, dont le sta­tut d’objets négo­ciés sou­ligne sou­vent cruel­le­ment le réel de leur condi­tion »[1].
Or Freud nous rap­pelle la condi­tion pour pou­voir accueillir, sin­gu­liè­re­ment, les sujets concer­nés par cette ques­tion, elle, uni­ver­selle, de la place : « Avoir une for­ma­tion psy­cha­na­ly­tique, car dans le cas contraire, l’objet de ses efforts, l’enfant, res­te­ra une énigme inac­ces­sible. Cette for­ma­tion s’acquiert au mieux lorsque l’éducateur lui-même se sou­met à une ana­lyse, lorsqu’il la vit “à même le corps”. L’enseignement théo­rique de l’analyse, en effet, ne conduit pas à une pro­fon­deur suf­fi­sante et ne sus­cite aucune conviction[2]».
C’est ce qui est sou­li­gné dans ce Zappeur. Marie-Cécile Marty nous per­met de situer dans deux pré­sen­ta­tions de malades réa­li­sées par Lacan com­ment cha­cune de ces femmes peut, « sur fond de non-rapport, com­po­ser avec le signi­fiant mère », tan­dis que Christelle Sandras inter­roge la consis­tance même du signi­fiant « enfant pla­cé » et sou­ligne l’importance de s’engager avec chaque enfant sur le che­min de l’énigme.

[1] Site de l’Institut Psychanalytique de l’Enfant, page « L’enfant pla­cé », dis­po­nible sur internet.
[2] Freud S., « Préambule à la pre­mière édi­tion (1925), Aichhorn A., « Jeunes en souffrance ».

Derniers articles

Les ateliers