8e Journée d'Étude

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Édito – Ce qui épate la famille

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La famille n’est plus nucléaire. L’essor d’autres moda­li­tés de faire famille a modi­fié la clas­sique répar­ti­tion des rôles entre père et mère. À ces signi­fiants s’est ain­si sub­sti­tué ceux de parent et de paren­ta­li­té. Le pas­sage d’un champ lexi­cal à un autre, témoi­gnage d’un chan­ge­ment dans la sub­jec­ti­vi­té de l’époque, a ren­du plus friable les fron­tières, mais a aus­si révé­lé qu’il ne s’agit là que de fonc­tions, tou­jours sin­gu­lières. Étudiant la ques­tion des paren­ta­li­tés – au plu­riel – Éric Laurent isole la fonc­tion d’« épa­ter [sa] famille[1]» que Lacan évoque dans … ou pire : « c’est à la fois pro­duire une sorte d’admiration, faire de l’effet, mais c’est sur­tout […] faire un pas de côté par rap­port à l’idéal du pater fami­lias[2]». É. Laurent sou­met ain­si une piste de recherche : « cher­cher au cas par cas, dans les paren­ta­li­tés d’aujourd’hui et les pro­blèmes cli­niques aux­quels ces familles sont confron­tées, ce qui fait suf­fi­sam­ment office d’exception côté femme et côté homme pour pou­voir défi­nir ce qui épate la famille[3]».

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