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Édito – Parents exaspérés – Enfants terribles

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Voilà un tiret qui a fait réagir, comme en témoigne le nombre de textes que nous avons reçus qui l’interrogent, s’en insurgent, en inversent l’articulation, … Ce trait dérange et cha­cun tente d’en répondre.

Trait d’union. Lien, oui, bien sûr ! Comme l’écrivait récem­ment Hélène Bonnaud[1], il faut être psy­cha­na­lyste pour ne pas situer d’emblée un lien de cau­sa­li­té entre « Parents exas­pé­rés » et « Enfants ter­ribles »… Mais pour­quoi pas aussi :

Barre oblique, celle de la divi­sion, où chaque ins­tance peut venir situer ce qui divise l’autre, mais alors : qu’est-ce qui divise qui ? Ou alors : où chaque côté de la barre consti­tue en lui-même un point de divi­sion en soi : parents / exas­pé­rés, enfants / ter­ribles (à entendre dans la poly­pho­nie de toutes leurs équi­voques). Ou encore :

Barre limite. Césure. Coupure. Presque déjà acte ins­tau­ra­teur d’un sujet.

Entre deux. Mais oui, est-ce là un couple ? Où se cache le petit a dans l’équation ? Qu’est-ce qui lie ? Qu’est-ce qui sépare ?

… Cette liste n’est pas exhaustive…

… Quoi qu’il en soit, nous avons bien là le piquant de l’affaire !

Et c’est à par­tir de là que ça s’invente…

Nous vous sou­hai­tons une bonne lec­ture de la recherche de Judith Couture, de l’invention ins­ti­tu­tion­nelle pré­sen­tée par Christelle Arfeuille, et de la note de lec­ture de Jean-Claude Maleval.
[1] Hélène Bonnaud, « L’enfant ter­rible est sans loi », dis­po­nible en ligne

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